samedi 18 décembre 2010

Comment devenir sorcier chez les occidentaux

Qu'est-ce que le rituel de dédication du sorcier ?
Le rituel de dédication du sorcier est le rituel qui va vous permettre de vous présenter aux déités et également, de devenir un véritable sorcier. Si ce rituel n'a pas été effectué, les sorts que vous ferez risquent de ne pas fonctionner. Cependant, sachez que certains sorciers le font et que d'autres ne jugent pas utile de le faire. C'est à vous de choisir. Certains sorciers attendent 1 an et 1 jour, après avoir étudié la Magie et la Wicca avant de faire ce rituel. A vous de voir ;)
- Quel rituel de dédication choisir ?
En visitant d'autres sites que le nôtre, ou en lisant différents ouvrages, vous avez dû remarquer qu'il existe de nombreux rituels de dédication pour devenir sorcier. Ce que notre coven peut vous conseiller, c'est de réaliser votre propre rituel de dédication. En effet, c'est plus personnel et plus intime que d'en suivre un à la lettre qui n'est pas le vôtre. Cependant, si vous êtes débutants et si vous n'osez pas encore créer vos propres rituels, en voici un qui vous inspirera peut-être pour le vôtre.
- Rituel de dédication du coven créé par le Cercle des Ombres
Ce rituel est à effectuer lorsque vous avez déjà ouvert un Cercle Magique, donc, lors d'une séance. Si vous êtes dans un coven, il est préférable de le faire devant les autres membres du coven. 
Accessoires :
- Une bougie blanche
- Un morceau de papier blanc
- Crayon noir
- Un bâton ou un cône d'encens de lotus
- Un petit bol
Ce rituel est très simple et très rapide, mais il faut le suivre à la lettre. Tout d'abord, vous devez allumer une bougie blanche et la placer devant vous. Puis, sur le porte-encens de l'élément Air, vous placerez l'encens de lotus que vous allumerez juste après la bougie. Tout est prêt, vous pouvez commencer.
  Nous vous conseillons vivement de vous concentrer un petit instant avant de vous présenter aux déités comme sorcier, afin de vous mettre "dans l'ambiance". Ensuite, écrivez sur le morceau de papier vos noms de sorcier. Vous devez en avoir deux au minimum. Puis, pliez le morceau de papier autant de fois que vous le souhaitez du moment que ce que vous venez d'écrire disparaisse sous les pliures.
  Maintenant que cela est fait, vous allez devoir dire quelque chose aux déités, tout haut ou dans votre tête. Vous pouvez dire quelque chose de personnel, quelque chose qui vient de vous ou vous pouvez tout simplement dire quelque chose qui ressemble à cela :
"Bonsoir être magiques,
Me voici en cette nuit,
Mon souhait est d'entrer ici,
Dans votre monde de magie,
Dans cet univers féérique."
  Vous pouvez répéter votre phrase trois fois, par exemple, cela lui donnera plus de puissance. Tout de suite après, brûlez votre papier à la flamme de la bougie blanche puis, une fois qu'il a pris feu, déposez-le au fond du bol. Concentrez-vous encore plus à cet instant et attendez que le papier ait terminé de se consumer. Une fois que les dernières nuées de fumée ont disparu, vous êtes devenu sorcier. Eteignez l'encens et la bougie. Les déités connaissent dorénavant votre nom et vous faîtes partie de l'univers de la magie. Bienvenue ! ;-) suite après vous saurai comment devenir sorcier en Afrique simple mais décisif........

La princesse Yennenga - La formation et la naissance de l’empire Mossi


C’était avant la naissances de l’empire Mossi, il y a très très longtemps, au royaume de Dagomba, situé dans le nord du Ghana actuel et dont la capitale était Gambaga. Un grand Roi, Nédega reignait sur le Dagomba et assurait la paix, la sécurité et la prospérité de son peuple. Un royaume qui était fort et prospère apporte toujours son lot de jaloux et le roi était sans cesse attaqué par les peuples voisins, principalement par les razzias des guerriers Malinkés qui habitaient plus au sud. Mais le roi et ses soldats, dont une légendaire cavalerie, défendaient vigoureusement le pays et parvenaient sans cesse à gagner les batailles.
Nédega n’avait pas encore de garçon pour assurer la descendance de son règne mais avait une fille qu’il adorait et avait chéris et élevé comme son garçon. Elle était était née sous le nom de Poko mais avait grandis aux contacts des guerriers de son père et était une guerrière du nom de guerre de Yennenga. Le roi et ses guerriers étaient donc aidés par la princesse  Yennenga, une amazone extraordinaire, qui à la tête de la cavalerie défendait et conquérait des territoires. Elle vivait comme un guerrier, comme un fils de chef, montait à cheval mieux les guerriers du Roi Nédega son père. Elle se servait admirablement bien de ses armes traditionnelles : elle lançait la sanguaies et le javelot, combattait les ennemis de sa lance, les transperçait avec les flèches de son arc. Elle menait au combat les guerriers et la cavallerie de son père le Roi Nédega.
N’ayant pas de fils et éperdument fier de la princesse Yennenga qui lui était si précieuse, celui-ci ne retardait le moment de la marier et la reine-mère Napoko en souffrait beaucoup, car c’est le role d’une mere que de marier sa fille. Celle-ci, pour attirer l’attention du roi, décida de semer un champ de Gombo qu’elle laissa mûrir et pourrir sans le cueillir. Le roi qui s’indigna de l’état du champ de Gombo lui demanda la raison. Elle lui répondit que l’évolution du champs est comme celle de sa fille : « si un fruit mur n’est pas enlevé, il durcit où il pourrit sur l’arbre » dit-elle. Le roi décida de se résigner et de trouvé un prétendant selon la coutume.
Un jour le royaume fut une fois de plus attaqué par les Malinkés, la princesse Yennenga rassembla les guerriers de son père et après les avoir combattus, elle décida des les poursuivres. Elle arriva à rejoindre et à capturer un de leurs chefs. Sur le chemin du retour, le cheval de la princesse s’emballa et se mit à courrir sans s’arrêter. Le cheval poursuivit sa course folle sans arrêt jusqu’a une rivière où il s’embourba projetant la princesse Yennenga dans la rivière. C’est en ce moment qu’un chasseur d’éléphant, répondant au nom de Rialé, qui était en brousse la repêcha et la ramena jusqu’à son campement. Après que cette dernière eut repris ses esprits et se soit remis, Rialé tomba sous le charme de la princesse Yennenga. Leur union torride, donna comme fruit un garçon qu’il décidèrent de nommer OUEDRAOGO, qui signifie “Étalon ou plus précisement Cheval Mâle” en souvenir du cheval de Yennenga qui lui avait fait rencontrer Rialé.
Mais Yennenga s’inquiétait du Royaume et de son père et pressa Rialé de l’accompagné dans le royaume Dagomba. Le roi, fût très heureux de revoir sa fille, la princesse Yennenga accepta alors Rialé comme gendre. Quand la princesse et Rialé demandèrent à partir du royaume pour fonder leur propre village, le roi leur fit des dons de bœufs, de moutons, de chèvres, de fournitures diverses et quelques serviteurs en plus de leur confier environ trois cent sujets avec lesquels ils iront s’installer vers le sud du Burkina Faso actuel pour et y créèrent le premier royaume Mossi ( Moagha au singulier ), le royaume de Tenkodogo ( La veille Terre).
Le fils de Yennenga et premier Mogho Naba, Naba Ouedraogo continua de règner sur ce royaume et eut lui même deux fils (des Nakomsé) : Naba Rawa et Naba Zoungrana. Naba Rawa se dirigea vers le Nord d’où il chassa les Dogons qui migrèrent vers le Mali, et créa le royaume mossi du Yatenga avec pour capital Ouahigouya. Le second resta dans le royaume de son père et le consolida. Un cousin de Ouedraogo, Diaba Lompo partit vers l’Est et créa le royaume du Gourma près de l’actuel Fada N’gourma. Ce dernier royaume ne fait actuellement plus partis offficielement de l’empire Mossi, mais son histoire restera attaché de près à celle de la formation du royaume Mossi issue de la descendance de Yennenga fille de Nédega Roi du Dagomba.


PS : Cette version de la légende de la princesse Yennenga et la formation et la naissance de l’empire Mossi à été composé suite à la lecture de nombreuses source et peut donc varié de la réalité. Si vous avez des détails ou faits historique à ajouter et modifier faites nous signe via les commentaires ou par email afin de nous aider à améliorer notre version.

vendredi 17 décembre 2010

Les chasseurs DOZO

C’est un petit homme qui ne paie pas de mine, coiffé d’une casquette. A Man, une ville située à 800 km à l’ouest d’Abidjan, en zone rebelle, il attend le visiteur étranger devant l’entrée de son bureau installé dans les locaux décrépis du Parti démocratique de Côte-d’Ivoire (PDCI), l’ancien parti unique de Félix Houphouët-Boigny. Mais il ne faut pas se fier aux apparences : Bakary Koné est à la fois redouté et admiré dans toute la région des Dix-huit Montagnes, et bien au-delà. Il est le chef des dozos.
Les forces gouvernementales du président Laurent Gbagbo ont des équipements modernes achetés à grands frais à l’étranger et des mercenaires libériens. Les rebelles, eux, ont une arme secrète : ces chasseurs traditionnels qu’on dit dotés de pouvoirs mystiques et qui ont rejoint le camp des insurgés dès le début de la crise en Côte-d’Ivoire, à l’automne 2002. « Parce que le pays était gâté », explique doucement Bakary Koné, calé dans un vieux fauteuil élimé face à un bureau où trônent un ordinateur et un téléphone antédiluviens, tous deux recouverts d’une épaisse couche de poussière. Probablement parce qu’il n’a que faire de ces moyens technologiques encombrants. « Nous, les dozos, nous nous servons des tourbillons du vent pour délivrer nos messages à l’oreille de nos camarades. »
Ce n’est que l’une de ses nombreuses bottes secrètes, inconnues des non-initiés. Les dozos sont craints par leurs adversaires pour leur prétendue capacité à échapper aux balles, à se volatiliser en cas de danger et à se réincarner en l’animal de leur choix. Bakary Koné confirme bien volontiers : « Il me suffit de prononcer une petite récitation pour que de l’eau sorte du canon ennemi ou de lever la main gauche pour que son arme s’enraye. » Dès septembre 2002, les journaux pro-Gbagbo s’étaient alarmés de leur présence aux côtés des rebelles. Un Libanais né en Côte-d’Ivoire raconte : « Fin 2002, lors de combats à Daloa, une rumeur a parcouru la ville : un chef rebelle accompagné par les dozos s’était métamorphosé en boeuf. Les soldats loyalistes étaient terrorisés et tiraient sur tous les bovins qui avaient le malheur de croiser leur route. Ils en ont tué des dizaines... »
La réputation de ces mystérieux guerriers survit à tous les coups du sort, et ce n’est pas le moindre de leurs pouvoirs magiques. Présent à Bouaké, la « capitale » des rebelles, lors de l’offensive aérienne des forces de Gbagbo, en novembre 2004, un habitant témoigne : « Avant que la première bombe ne touche le sol, les dozos et les civils ont pris la poudre d’escampette pour se terrer dans les broussailles. Le lendemain matin, quand nous sommes revenus sur les lieux, les dozos ne voulaient plus nous voir à leurs côtés parce que, disaient-ils, c’était grâce à leurs fétiches que les bombes n’avaient pas explosé... » Au grand dam de ceux qui les avaient vu détaler comme des lapins, leur popularité s’est considérablement accrue à Bouaké.
Combien sont-ils ? Personne, pas même eux, ne le sait réellement. D’où viennent-ils ? « Nous existons depuis que le monde est monde », répond Bakary Koné. Dans l’histoire des « Blancs », on signale leur présence à l’époque du grand empire mandingue qui, au Moyen Age, couvrait une grande partie de l’Afrique de l’Ouest. De fait, on trouve des dozos dans le nord de la Côte-d’Ivoire, mais aussi au Burkina Faso, en Guinée, au Mali... Durant la Seconde Guerre mondiale, ils étaient légion dans les rangs des tirailleurs sénégalais. Puis, ils ont connu une longue éclipse en Côte-d’Ivoire jusqu’au début des années 90. Alors que l’ex-colonie française s’enfonce dans la crise politique et que l’insécurité grandit dans les rues d’Abidjan, on fait appel à eux comme gardiens. « Beaucoup se sont présentés comme des dozos pour trouver un emploi, confie un habitant de la capitale économique ivoirienne. Mais ils n’avaient de dozos que le nom... »

Car n’est pas dozo qui veut.

Pour faire partie de cette confrérie très fermée, il convient d’avoir été formé par un maître, si possible dès le plus jeune âge. « Il faut rouler avec lui dans la brousse, être son porte-sac durant des années, explique Bakary Koné. Si les parents confient leur enfant au maître vers 8 ou 10 ans, c’est mieux. Il sera mûr plus tôt. » Dans la forêt, le disciple va être initié aux valeurs de cette société secrète : respect des anciens, des ancêtres et de la hiérarchie, observance des codes de bonne moralité, sens aigu de l’honneur et de la dignité... Les vices tels que le mensonge, le vol ou la jalousie sont bannis. Il apprend à chasser les animaux sauvages avec un arc et des flèches empoisonnées. Mais on lui enseigne aussi des danses traditionnelles, dont certains pas singent la démarche des félins.
Lorsqu’il est jugé apte par son maître, le jeune dozo peut regagner sa famille et voler de ses propres ailes. Il peut aussi revêtir la tenue traditionnelle des chasseurs : un bonnet et une combinaison de toile piquée d’amulettes, de gris-gris de toutes sortes, de cordelettes et de morceaux de verre. « On reste dozo toute sa vie, précise leur chef à Man. Et si l’un d’entre eux trahit, même s’il se réfugie à Paris, il suffit d’un peu de poudre et d’un tourbillon pour le punir... » Durant sa formation, le dozo est également initié aux secrets de la nature. Les vertus thérapeutiques des plantes n’auront plus de mystère pour lui. Sortant de sa poche un modeste sac plastique contenant de la poudre noire, Bakary Koné assure qu’il n’a jamais vu un médecin de sa vie. « Le dozo soigne les paralytiques, les fractures, la tuberculose, les hémorroïdes », dit-il en priant son interlocuteur de goûter le remède miracle.

Pouvoirs mystiques.

Dans l’ouest de la Côte-d’Ivoire, où les affrontements entre communautés sont de plus en plus fréquents, les chasseurs traditionnels se sont disséminés dans les villages des dioulas (nordistes) pour « assurer leur protection contre les mauvaises personnes », confie Bakary Koné. Sur un mur défraîchi, il a accroché une photo de lui en costume traditionnel, au côté d’un officier français à l’air pincé. « Les militaires français sont nos amis. Nous n’avons pas peur d’eux. Ils ont leurs armes et nous, nous avons nos pouvoirs mystiques. » Un soldat de Licorne prévenu en vaut deux.

laisser vos commentaires.
Je peux vous amenez chez eux comme guide touristique et vous verrez et serrai témoin occulaire de choses
mystérieuse ils sont extraordinaire.

Contacte:  elkabore13@yahoo.fr et kingwendlasida@hotmail.com

                               kaboreroland@gmail.com
 tel: 00226 74 48 48 35

Mon pays le Burkina Faso

Vous vous demandez quel est le pays le plus accueillant au monde?
Sachez bien que c'est le BURKINA FASO :

Capitale: Ouagadougou
Population: 13,9 millions (2005)
Langue officielle: français
Groupe «majoritaire»: mossi ou mooré (53 %)
Groupes minoritaires: une soixantaine de langues dont le peul (7,8 %), le dioula (8,8 %), le bissa (3 %), le lobi (2,7 %), le lyélé (2,1 %) et le marka (1,9 %), etc.
Langue coloniale: français
Système politique: république unitaire
Articles constitutionnels (langue): art. 1 et 35 de la Constitution de 1997
Lois linguistiques: arrêté no 131 du 3 octobre 1991 portant organisation de la Direction générale de l'Institut national d'alphabétisation;décret no 95-306/PRES/PM/MCC portant cahier des missions et charges des radiodiffusions sonores et télévisuelles privées au Burkina Faso; loi no 013/96/ADP portant loi d'orientation de l'éducation.


Mon pays est très accueillant et intègre  nous aimons les étrangers et nous les respectons .
 Quand a moi je suis un guide touristique.
Ce blog est le votre si vous avez des projets de voyage dans ce pays faite moi signe je vous donnerai les informations nécessaires pour bien passer un bon séjours .

Mes contactes : Kaboré W Roland 
 Cell: 00226 74484835
 emails: elkabore13@yahoo.fr
               kingwendlasida@hotmail.com
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Blog : kabore.centerblog.net
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